mardi 4 octobre 2011

La grande inspiratrice

Quai de Styx Beach, par L. Watt-Owen ©, 2011 / click to enlarge

Et une nuit blanche de plus à rôder sur les quais noirs de Styx Beach en se faisant le pire mauvais sang… Faute de bateau à l'embarquement, on sifflote, soulagé et ragaillardi, en retournant chez soi à l'aube. Rien de tel pour retrouver l'allégresse de l'inspiration et ne plus y aller de main morte d'avance.
L. Watt-Owen

3 commentaires:

Louis Watt-Owen a dit…

Permettez-moi d'ajouter, cher Cedric :
tant qu'on ne se fait pas attraper !
Car sinon, eh bien, je crois qu'alors il n'y a pas plus d'inspiration qui tienne que d'inspiration.
L'expiration définitive leur coupant en quelque sorte le sifflet.
L.Watt-Owen.

gmc a dit…

DESEXPIR

Franchit le Styx
Celui qui allie le zèle
La victoire et la force
A la puissance du velours

Vaincre la haine et les flammes
Les lamentations et l'oubli
Quand du glaive de la mémoire
Surgissent les premiers vers

Après le Styx
Vient la respiration
En plein coeur de la nuit
Pour une simple pièce d'or

Romain a dit…

Superbe capture de l'enfer! ça fait froid dans le dos jusqu'ici.