jeudi 3 mars 2011

"Je t'emmerde bien cordialement"


" … Allez, je t'en ai assez dit — vas-y, pond un peu. Longueur, opinion, teneur ad lib.. Payé zéro franc zéro centime (on travaille pour la gloire du jazz, pas ?) — Envoies-en tout de suite de quoi faire deux ou trois numéros — je t'emmerde bien cordialement… "
Boris Vian, Lettre inédite à Jean-Marie Soreau,
25 septembre 1951,
in La Main de singe, numéros 5 & 6, automne 1992





Le dernier jour de Boris Vian (1990)

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