Livres emportés par L. Watt-Owen © Ardennes, août 2012 click on the picture to enlarge |
Pour une fois, j'ai commencé la journée en zigzagant sur la toile. Une heure durant j'ai épluché des pages et des pages, je me suis tué les yeux à déchiffrer ces pénibles typographies cybernétiques, mais enfin cela valait le coup et je n'ai cessé de rebondir de billets surprenants en chroniques pertinentes, de citations électriques en classique numérisé, j'ai même fort apprécié mon propre blog dont j'avais tout oublié — puis soudain j'ai éteint le MacBook, j'ai fait un bond jusqu'à mes murs de livres et je me suis surpris à marmonner : "C'est pas le tout, ça ! Il faudrait peut-être que je me mette à lire un peu quelque chose, moi !". Avais-je dit là une énormité ?
L. W.-O.
1 commentaire:
Non, de temps en temps il faut se reposer les yeux (et l'esprit, par la même occasion).
Votre hommage à Henri Guillemin, plus haut, remue des souvenirs en noir et blanc.
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