Lettre d'Adalbert Stifter (en HD !) (ouvrir l'image dans une autre fenêtre pour qu'elle se déploie) |
Je me demande encore comment j'ai pu passer à côté de cette parution mirobolante, qui remonte à quelque lurette.
J'ai commandé en ligne Dans la forêt de Bavière d'Adalbert Stifter, bénissant l'éditeur, Premières Pierres, pour l'initiative délectable de cette traduction, mais le maudissant un tantinet de ne pas en donner à lire de "bonnes feuilles" sur son site. Il faut acheter à l'aveugle. Pas de souci : du Stifter, un homme de goût en acquiert même les yeux fermés. Comme j'ai en aversion les chercheurs de petite bête, les chipoteurs et les procès d'intention, je fais confiance et crédit, quant à la qualité de la traduction, à un éditeur dont le catalogue eût fait saliver un Arno Schmidt et un Claude Riehl, mes deux spin-doctors, hommes de goût devant l'éternel. Je guette déjà le facteur, trois jours à l'avance.
L. W.-O.
BONUS : Stifter, "inventeur" de l'art abstrait ?
Une intéressante piste (en VO) sur Cafe Deutschland.
Une intéressante piste (en VO) sur Cafe Deutschland.
AU CATALOGUE DES ÉDITIONS PREMIÈRES PIERRES
(cliquer sur les titres)
Avicenne et la gauche aristotélicienne
BURROUGHS John
Construire sa maison
CARUS Carl Gustav
Voyage à l'île de Rügen Sur les traces de C. D. Friedrich
GILPIN William
Le Paysage de la forêt
GOETHE Johann Wolfgang von
La forme des nuages d'après Howard suivi de Essai de théorie météorologique
HUMBOLDT Wilhelm von
De l'esprit de l'humanité et autres essais sur le déploiement de soi
JUNG-STILLING Johann Heinrich
Les Années de jeunesse de Heinrich Stilling
RECLUS Élisée
Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes
RITTER Johann Wilhelm
Fragments posthumes tirés des papiers d'un jeune physicien
RYNER Han
Le Père Diogène
STIFTER Adalbert
Dans la forêt de Bavière
THOREAU Henry David
Couleurs d'automne
LIENS : le Site de Premières Pierres, où l'on peut lire le dossier de presse du Stifter
1 commentaire:
Le père diogène... ce titre m'intrigue...
Sinon j'adore les courtes pièces de Walser dont kafka appréciait beaucoup les textes d'ailleurs... De stifter je ne connais que "l'homme sans postérité" qui m'avait alors beaucoup impressionné... merci pour ton blog, que je retrouve toujours avec plaisir... Une petite pensée pour toi hier soir en voyant Rosset...
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