Le Web est un égoût.
Le grand égoût général.
Où s'accumulent la merde, l'ordure, la pourriture, la charogne.
Où pullulent les amis de la mort, les rats, les zombis et les cons de tous poils.
Où s'ébattent les porcs.
Je découvre ce matin, par hasard, qu'un répugnant agitateur cybernétique "pur porc" de race dite blanche et de chemise noire s'est permis sans vergogne de copier-coller dans la puante fange de ses deux immondes blogs une grande partie de mon billet de l'autre jour, "Une heure à tuer avec Cioran".
Il ne m'a bien évidemment pas demandé mon avis, et s'en tire à bon compte en renvoyant laconiquement à la source, à savoir mon blog, laissant ainsi subodorer que je serais complice sinon copain comme cochon !
Ah bon ?
Tiens donc !
Il ne m'a bien évidemment pas demandé mon avis, et s'en tire à bon compte en renvoyant laconiquement à la source, à savoir mon blog, laissant ainsi subodorer que je serais complice sinon copain comme cochon !
Ah bon ?
Tiens donc !
Sans en changer un seul mot, cet agité "Pur-porc" bas du front reprend "mon" titre et "mes" lignes de présentation de l'entretien de 1989 avec Cioran piqué sur France-Culture (mais que j'avais tout de même eu la décence d'acheter moi-même en ligne sur le site de l'INA). Et comme cela ne lui suffisait pas il copie-colle en bonus "mon" choix d'extraits des Cahiers de Cioran, tapés par "mes" doigts après avoir été lus et choisis par "ma" tête.
C'est évidemment à dégueuler !
Ce gros con prouve par son larcin sans vergogne qu'il est trop obtus pour mettre son propre groin dans les Cahiers de Cioran, dont il doit avoir feuilleté, du sabot, uniquement les consternants délires roumains de sa période de la Garde de Fer.
Ce métèque de Cioran, ce voleur de poules, ce romanichel, ce branleur, ce roi des fainéants, ce resquilleur des cantines universitaires, cet immigré profiteur sans vergogne, ce déconneur s'est imposé comme LE PLUS GRAND ÉCRIVAIN DE LANGUE FRANÇAISE, son plus fin styliste.
La moindre de ses phrases "françaises" est un bras d'honneur, sinon un doigt d'honneur, à ce pays d'incultes, à ces franchouillards identitaires et autres agitateurs pur-porc qui bredouillent un français de bredin et, porcs qu'ils sont dans l'âme, écrivent comme des cochons, par exemple leur slogan de grand remplassement, avec deux S éloquents.
Le romanichel Cioran FOUT LA HONTE à ces identitaires tricolores incapables de parler et écrire leur propre langue.
La moindre de ses phrases "françaises" est un bras d'honneur, sinon un doigt d'honneur, à ce pays d'incultes, à ces franchouillards identitaires et autres agitateurs pur-porc qui bredouillent un français de bredin et, porcs qu'ils sont dans l'âme, écrivent comme des cochons, par exemple leur slogan de grand remplassement, avec deux S éloquents.
Le romanichel Cioran FOUT LA HONTE à ces identitaires tricolores incapables de parler et écrire leur propre langue.
Que certains d'entre eux fassent de ce Prince des Métèques leur idole prouve de facto qu'ils ne l'ont pas lu.
Beurk !
L. W.-O.
LES TRIBULATIONS DU MÉTÈQUE
Entretien avec Cioran, 1951 / 21mn
5 commentaires:
J'ai effectivement sur gougueule tapé le titre de votre dernier billet sur notre métèque chéri et suis tombé sur le site de l'infâme porc en question et y ai notamment découvert un lien avec le site de Michel Onfray... Merci pour ces archives !
Je comprends et partage votre indignation autant que votre dégoût. Je ne suis même pas allé sur ce site pur porc. Mais par contre merci pour l'entretien de Cioran
Vais de ce pas relire Cioran (et merci pour votre bel article) et vais reprendre du bacon!
Cher L. W.-O.,
Je ne vous trouve pas très gentil avec les porcs quand vous les comparez à ce type.
Par ailleurs, vous savez bien qu'on ne pille que les riches.
À vous,
FS
Les loups sont dans la bergerie.
Les renards dans le poulailler.
Mais même en bloguant, même en recopiant, même en pillant, ils ne trouveront pas Cioran.
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